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Jehan de eyck ou Jean Dechêne ... Un Primitif liégeois (1390-1441), L'Homme au Turban rouge.

Dernière mise à jour : 25 juin 2020

"... une étoile de l'art est née au ciel du Pays de Liège. Des voies tracées par l'histoire allaient le conduire en Flandre, en passant par la Hollande, sans que toute attache avec la terre patriale soit rompue." (Joseph Philippe, Van Eyck et la Genèse mosane de la Peinture des anciens Pays-Bas, Imprimeries Bénard et Centrale Réunies, Liège 1960, pages 38, 56, 57)








"N'oublions jamais que notre patrie est celle de Lombard, Douffet, Bertholet, Carlier, Lairesse, dont les immortels travaux sont placés dans le premier des musées du monde, à côté de ceux des Rubens, des Raphaël, des Michel-Ange ; que ce van Eick, dont le génie opéra une révolution si marquante dans la peinture, puisque c'est à lui qu'est dû l'art de peindre à l'huile, que ce van Eick, connu sous le nom de Jean de Bruges, parce qu'il résida dans cette ville, est né parmi nous, était Liégeois." Jean-Nicolas Bassenge aîné, la Gazette de Liège du 10 ventôse an 13 (1er mars 1805), cité par Alfred Micha, Les Peintres célèbres de l'ancien Pays de Liège, Mathieu Thone 1911.


"... (...) Jean van Eyck, pour pouvoir prendre résidence à Bruges (ndlr : alors séjour des ducs de Bourgogne et de très riches clients potentiels), dut payer la somme forte de douze livres, perçue de ceux qui étaient nés hors de Flandre. Les autres ne payaient que trois livres." (Micha, op.cit. page 23 in fine).


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